L’amour ne périt jamais.
Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.
Car nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie, mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.
Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant.
Lorsque je suis devenu adulte, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant.
Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face ; aujourd’hui je connais en partie,
mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu.
Maintenant ces trois choses demeures : la foi, l’espérance et l’amour.
Mais la plus grande de ces choses c’est l’amour.