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En 2005, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a attiré l’attention de l’opinion publique sur le nombre croissant d’individus se plaignant d’une dégradation de leur état de santé qu’ils attribuent à une forte sensibilité aux champs électromagnétiques. La liste des symptômes de l’électrosensibilité serait longue : fatigue, maux de tête, nervosité, troubles du sommeil, vertiges, acouphènes, palpitations… la rendant très difficile à diagnostiquer.
Un peu plus tard le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer) de l’OMS a classé les champs électromagnétiques de radiofréquences comme potentiellement cancérogènes pour l’homme sur la base d’un risque accru de gliome lié à l’utilisation d’un téléphone mobile 30 minutes par jour pendant dix ans.
Le téléphone portable est utilisé à grande échelle depuis le milieu des années 90. Il est possible qu’un jour, on prouve d’une manière indiscutable que la pollution électromagnétique (multipliée par 400 en 30 ans) porte sérieusement atteinte à notre santé.
Aussi, en 2003, les principales compagnies mondiales d’assurance déclarent ne plus couvrir les risques sanitaires liés à la téléphonie mobile.
Le téléphone mobile nous exposerait le plus parmi tous les appareils du quotidien tels que téléphone sans fil DECT, box Wi-Fi, PC, tablette, micro-ondes, Bluetooth, etc. Il émettrait librement la plus grande quantité d’ondes électromagnétiques, au plus près du corps et du cerveau, en continu.
D’après les informations relevées sur le site de l’association Robin des Toits, l’accumulation des rayonnements émis par tous ces appareils aurait potentiellement un impact trois fois supérieur. Parmi ces diverses émissions, on peut citer :
• Hyperfréquence, ou micro-onde
• Gamme de très basses fréquences
• Multi-pulsation chaotique, c’est-à-dire sans résonance de rythmes
Les ondes de très basses fréquences et d’hyperfréquence, par exemple, présenteraient une toxicité extrême pour l’organisme humain par la production de protéines de stress et par la résonance avec les fréquences cérébrales.
Toutes les émissions mentionnées ci-dessus désorganiseraient les processus physiologiques et décomposeraient les structures biochimiques du corps humain. Elles pourraient provoquer :
• La perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau
• La perturbation de production de la mélatonine
• La déstabilisation des régulations membranaires
• Les dommages génétiques.*
*Source : www.robindestoits.org
De nombreuses études épidémiologiques montrent des risques accrus possibles pour les utilisateurs les plus réguliers de téléphones mobiles :
• Des tumeurs cérébrales : gliomes, méningiomes, neurinomes
• Augmentation de 48% du risque supplémentaire de faire une fausse couche
• Des effets aigus possibles sur les fonctions cognitives et le bien-être des enfants. *
*Ces études sont consultables ici: Interphone, CERENAT, OREBRO, ASRM, ANSES
Le Débit d’Absorption Spécifique est la seule norme mondiale qui quantifie la quantité maximale d’ondes absorbées par votre tête ou votre corps. Les mesures de DAS réalisées au contact du corps sont en réalité faites à distance de celui-ci et ne correspondent donc pas à l’usage réel. C’est pourquoi les notices des téléphones mobiles précisent qu’il faut garder une distance entre l’appareil et le corps.
« Protégez-vous contre les ondes électromagnétiques. Les dispositifs de protection ENF sont spécialement conçus pour être appliqués sur le dos des téléphones portables afin de vous protéger des ondes magnétiques en les détournant avant qu’elles n’atteignent votre tête. » Affirme Nathalie Majcher sur son blog docteurbonnebouffe.com
La pastille « Protection téléphone », mise au point par des chercheurs russes et fabriquée par la société Centre Région, serait l’une des meilleures solutions indiquées pour la protection contre les ondes des portables. A coller au dos de votre téléphone sans fil, votre smartphone, votre tablette ou même votre PC, ce mini CEF favorise la protection contre les ondes nocives de votre appareil et contribue à réduire ainsi les sensations de gêne telles que maux de tête, troubles du sommeil, irritabilité, acouphènes, etc.
D’après l’équipe des chercheurs russes qui ont travaillé à la conception des Correcteurs d’Etat Fonctionnel (CEF), un CEF peut être placé entre la source d’émission et la personne afin de la protéger des rayonnements néfastes. Mais dès lors que l’appareil, source d’émission, doit s’approcher de la tête de la personne, ils conseillent d’opter pour une pastille « Protection téléphone » à coller au dos de l’appareil.