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L’une des premières personnes à avoir déclaré à la communauté scientifique que l’eau a une mémoire est Jacques Benveniste, un médecin et immunologiste français, directeur de recherche à L’INSERM.

La mémoire de l’eau

Cette déclaration allait rapidement provoquer l’une des polémiques scientifiques les plus violentes du 20e siècle.

L’étude menée par le chercheur et son équipe en 1988 montrait, que d’après eux, les molécules de la matière possèdent une forme de mémoire qui subsiste, même après de fortes dissolutions, même lorsque toute trace physique de la molécule a totalement disparu. Il s’agirait d’une sorte « d’empreinte » de mémoire, toujours active bien qu’indécelable. Benveniste affirme être parvenu à activer une cellule sanguine avec une solution d’eau contenant un anticorps totalement dilué (mille milliards de fois). D’après ses conclusions, l’information biologique s’est conservée dans le liquide et est restée active sans qu’il n’y ait plus aucune trace de ces protéines. Source ( 1 ) 

La majorité de ces collègues ont contesté la véracité de ce résultat car ces expériences n’étaient pas selon eux reproductibles de façon convaincante, mais certains l’ont appelé « le Galilée du 20e siècle » pour ses découvertes en avance sur son temps. 

Depuis ces premières expériences concernant la haute dilution en 1984, et jusqu’à nos jours, des milliers d’autres ont été réalisées, enrichissant et consolidant considérablement nos connaissances initiales. A ce jour, force est de constater qu’aucune faille n’a été observée dans ces expériences et qu’aucune contre-expérimentation valable n’a été proposée.

Jacques Benveniste n’était pas le seul à s’intéresser aux propriétés spécifiques de l’eau. En Russie, un autre scientifique, docteur en sciences biologiques Stanislav Zenin a lancé ces propres recherches concernant la structure de l’eau.

En 1999, il a défendu sa thèse devant ses confrères scientifiques intitulée « État structuré de l’eau comme base pour contrôler le comportement et la sécurité des systèmes vivants ».

Zenin a défini l’eau comme perméable à l’information, une substance dont la structure convient au stockage de données d’informations biologiques. Dans le même temps, il a distingué deux types de mémoire de l’eau – « primaire » et « long terme ».

La mémoire primaire apparaît après une courte exposition à l’impact informationnel et présente un changement réversible dans sa structure (et son affichage à la surface des clusters d’un nouveau motif électromagnétique). La mémoire à long terme est une transformation complète de la matrice d’éléments structurels dans les clusters en raison d’une exposition prolongée aux informations biologiques en forme d’ondes scalaires. Autrement dit, pour former telle structure de l’eau, il est nécessaire de transmettre telles informations à l’eau pendant un certain temps.

Au Japon, le chercheur Masaru Emoto, familiarisé avec le concept micro cluster de l’eau et avec la technologie de l’analyse par résonance magnétique, a mis au point une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie.

C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. Puis, des gouttelettes de glace se forment à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.

Avec ses expériences, Emoto a mis en lumière que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives forment de beaux cristaux harmonieux là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne forment pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.

Ces photos ont démontré la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique…  Vous pouvez les consulter ici

De nos jours, de plus en plus de scientifiques commencent à faire des recherches dans ce domaine. L’un d’eux était le biologiste virologue français Luc Montagnier, le codécouvreur du virus du Sida qui a obtenu le Prix Nobel de médecine en 2008. Ses travaux sur le Sida l’ont rapproché des travaux de son confrère Benveniste sur la mémoire de l’eau. Montagnier disait : « L’ADN qui est une molécule organise l’eau qui est autour, et cette eau garde l’information de l’ADN. » Ça correspond exactement à ce qu’avait trouvé Jacques Benveniste pour d’autres molécules… 
L’eau peut transmettre des informations mais celles-ci peuvent également être transmises à distance grâce à des ondes. Parce que cette eau, organisée, émet des ondes…  Il travaillait sur une approche informationnelle et scientifique du transfert d’informations par l’eau, à l’aide de moyens physiques peu coûteux (fréquences, champs magnétiques et scalaires …)

Dr. Jerry Pollack, un scientifique américain reconnu dans le monde entier, fondateur de la revue de recherche WATER, directeur de l’Institute for Venture Science, se concentre principalement sur l’identification du quatrième état de l’eau, également connu sous le nom « d’eau de la zone d’exclusion » (EZ water). Après avoir beaucoup expérimenté, Pollack et son équipe ont trouvé que l’énergie responsable de la construction de cette zone d’exclusion à faible entropie provient de la lumière. Plus d’info sur le site www.masaru-emoto.net

Récemment les scientifiques allemands de l’Institut aérospatial de Stuttgart ont découvert un moyen relativement simple de rendre visible la structure de l’eau. Ils ont fait apparaitre le fait que l’eau ait une mémoire !

L’un des chercheurs russes sur la physique de l’eau Serguei Koltsov est allé plus loin et a créé un dispositif appelé Correcteur d’Etat Fonctionnel (CEF) ou plaque de Koltsov.

Il s’agit d’un outil hors du commun qui transférerait des informations biologiques à l’eau. Ainsi, un CEF donnerait à chaque personne la possibilité de créer à tout moment de l’eau structurée (comportant des informations bénéfiques à tout être vivant) à partir de n’importe quelle eau.

Ce dispositif en forme de plaque de la taille d’une carte bancaire créerait un champ d’ondes scalaires qui modifierait la structure de l’eau de façon à ce qu’elle devienne biologiquement active.

Pour en savoir plus sur cette invention sans précédent, cliquez ici.

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