AHAMKARA
Pour passer le « mur de lumière » et descendre dans le monde de la causalité linéaire et des phénomènes, on nous implanta un nouvel élément ontologique : l’ahamkâra ou principe d’individuation, circuit énergétique cohérent semblable à deux serpents entrelacés – l’un tête en bas, l’autre tête en haut – chargé de trier les informations, de moduler les lumières venues des plans supérieurs, et de favoriser les expériences et les travaux sur les plans inférieurs.
De ce double égo, masculin et féminin sortit :
– la psyché avec ses diverses composantes, reflet de l’Esprit et de l’Ame essentielle
– le cerveau, un ordinateur de haute performance devant fonctionner selon des paramètres théandriques, radiants et neuro-psychiques, destiné à être couplé avec le coeur
– les chakras élémentaires ou incarnés qui sont le prolongement en réseau des Grands Chakras
et
– les corps, projections des formes de lumière antécédentes, prévues jusqu’au niveau physique.
Phase cruciale : naissance du principe d’individuation, d’une cohérence nouvelle en fonction du rôle que nous devons jouer. Nous devons être rattachés aux énergies supérieures sinon nous nous prenons pour la totalité alors que nous ne sommes qu’une petite partie de notre être (la grande déviation).